Comprendre le cerveau et son évolution
Lorsque nous sommes confrontés au décès d’un proche et au deuil, notre cerveau reptilien, chargé de gérer notre survie, se met en action. Faire face à la disparition d’un proche et au deuil génère un stress qui vient réveiller cette partie instinctive de nous. Cette partie qui à l’origine permettait à l’homme ancien de se protéger lors d’un danger et de maintenir sa survie, par exemple lors une attaque animale.
Trois réactions instinctives s’offraient ainsi à lui pour sauver sa vie :
- La lutte
- L’inhibition (rester figé)
- La fuite
De nos jours que ce soit à Toulon, dans le Var, dans toute la France ou d’autres pays développés, notre mode de vie a évolué et nous vivons pour la plupart dans des logements protégés des intempéries et des dangers de la nature. Seulement nous conservons toujours notre cerveau reptilien qui fait maintenant face à d’autres stress quotidiens, tel que perdre un proche et être confronté à la mort.
Cet instinct est donc toujours présent et les trois réactions primaires ont elles aussi évolué :
- la lutte par le déni et la colère
- l’inhibition par l’inaction et la tristesse
- la fuite par les éléments extérieurs : fuite par le travail excessif, fuite géographique, fuite
dans la recherche de plaisirs, fuite dans les addictions, etc.
Dans les trois articles suivant j’aborderais plus en détails chacune des ces réactions, très en lien avec le processus du deuil et les outils d’hypnose et de PNL quantique utilisés face à la perte d’un être cher.
A très vite pour la suite.